Dans la nuit de vendredi à samedi, les deux hommes de la police romaine sont postés dans leur véhicule de service sur un axe de l'est de la capitale. Ils disposent d'un radar dernier cri disposé sur un trépied devant la voiture. L'heure tourne. Il est tard et le sommmeil les gagne. Samedi vers 2 heures du matin, lorsqu'ils reprennent leurs esprits, ils se rendent compte que le radar n'est plus à sa place.
Les auteurs du vol courent toujours et l'appareil de mesure de vitesse demeure introuvable.
Heureusement que les deux policiers ne se sont pas assoupis au volant alors qu'ils étaient en opération avec un radar embarqué, capable de flasher des automobilistes en plein trafic : le bilan aurait été beaucoup plus grave.